À cause de la France et de l’Allemagne, soutenues par l’Italie, les négociations entre les institutions européennes pour aboutir à une version finale de l’AI Act patinent. Les premières économies du continent ne souhaitent pas réglementer trop fermement certains modèles d’IA, de peur d’entraver l’éclosion de l’une de leurs start-up. ...