Je ne savais pas vraiment comment trouver le bon titrage, le bon descriptif court qui résume et restitue correctement ce que fait Stack. Alors prenons le truc depuis le début. Dans nos métiers, nous sommes amenés à multi-task. Nous opérons sur plusieurs interfaces pour des besoins différents. Nous sautons donc de nos réseaux sociaux à nos messageries en passant par les application Google Drive etc, souvent via nos onglets. Si on réfléchit à améliorer la manière dont nous naviguons sur ces interfaces, on peut tenter d’élargir la zone de travail en ajoutant, par exemple, un ou deux écrans. Il est également possible de repenser le délire à travers des gestionnaires d’onglets, à l’exemple de Workona ou wquicktabs dont je vous parlais l’année dernière.

Stack trace sa route avec une autre perspective. À l’origine, l’application gratuite pour Mac se voyait comme le Tweetdeck pour l’ensemble des plateformes sociales.

On pouvait sélectionner les médias sociaux que l’on souhaitait pouvoir utiliser et les intégrer dans des colonnes qui rappellerons aux social managers et autres community managers l’interface d’un Hootsuite ou d’un Tweetdeck. De là, la plateforme à engrangé plus de 10 000 utilisateurs et s’ouvre au web entier.

Une fois téléchargé gratuitement, Stack permet de piocher dans un pool de web-app ou de sites (ou d’en ajouter), de les structurer par grandes catégories et de pouvoir naviguer en multiscreen dans ces mêmes rubriques. La navigation dans ces dernières permet de rapidement switch parmi les différentes applications.

Point fort, l’outil est synchronisable entre plusieurs appareils. Stack opère donc un sacré bon dans la valeur proposée à ses utilisateurs qui devrait réellement ravir les professionnels qui multi-task.