En conclusion de sa présentation lors de sa conférence Facebook Connect 2021, Mark Zuckerberg a dévoilé un nouveau nom pour son entreprise. Après un « one more thing » emprunté à Steve Jobs, et une courte introspection, le fondateur de Facebook a dévoilé le nouveau nom de son entreprise : Meta.

Facebook change de nom et devient Meta

« J’ai beaucoup pensé à notre identité » évoque Mark Zuckerberg en introduction. Si l’on parle de Facebook, le premier réflexe ira directement l’associer aux réseaux sociaux, avec ses bons et mauvais aspects. « Mais dans notre ADN nous sommes une entreprise qui construit des technologies pour connecter les personnes, » poursuit le PDG. Quelle différence ? Certainement aucune à l’instant T.

Néanmoins, l’heure qui a précédé cette annonce de taille a tourné autour d’un seul et même mot : le métaverse. Un espace pour retrouver ses amis, jouer, et même travailler. Un univers dans lequel avatars, vraies personnes, artistes et marques en tout genre pourront se retrouver, commercer, et vivre de nombreuses expériences.

animation présentant les logos du groupe facebook se tranformer en logo de Meta

Le groupe Facebook n’est plus, mais le réseau social conservera bien son ancien nom.

« Instagram, WhatsApp, Messenger, Quest, Horizon… notre marque [facebook] est tellement lié à un seul produit qu’elle ne représente plus ce que ne nous faisons aujourd’hui et ce que nous ferons dans le futur » insiste Mark Zuckerberg. Ce que fera Meta dans le futur ? Du métaverse, évidemment !

Il faut dire que Facebook… Meta (!) compte sur ce concept encore exploré à 0,01% pour laisser de côté ses travers actuels. Elle est une entreprise « construite autour de [ses] applications, mais pas des gens ». « Le métaverse nous donne l’opportunité de corriger tout cela, » espère le PDG de Meta, qui se dit être une société “metarverse first”.

Mais au-delà de tout ce sur quoi l’on pourrait spéculer, la vision du groupe est à présent tournée vers les plateformes de demain. C’est d’ailleurs tout le but du métaverse : succéder à l’internet mobile. Une réalité très anticipée, d’une décennie au moins. D’ailleurs, « c’est un futur qui est au-delà de n’importe quelle entreprise, et qui sera construit pas nous tous, » conclut Mark Zuckerberg.

Alors, au revoir Facebook, bonjour Meta.