L’INNOVATION N’A DE SENS QUE SI ELLE EST AU SERVICE DE TOUS

Quand on détient une compétence ou une technologie susceptible d’avoir un impact sociétal, on est confronté à plusieurs choix : en tirer profit à titre individuel, lui donner un sens, tirer le fil de l’innovation
Dans le Japon des années 90, Hiroshi Mikitani s’est trouvé dans cette situation : il avait une vision précise pour un domaine pointu. Peu de personnes à l’époque voyaient à quel point le digital changerait la face du monde. Sans équivoque, il a œuvré pour en faire profiter son quartier, puis les communautés à travers le monde.

Ainsi est né Rakuten, « Optimisme », en japonais.

Parce qu’il avait compris le potentiel d’un Internet mis à la portée des détaillants, Hiroshi Mikitani a estimé que n’importe qui, indépendamment de sa maîtrise de l’informatique, devait avoir la possibilité de se faire connaitre et vendre à l’échelle nationale.

L’excellence de Rakuten n’a alors pas tant résidé dans les connaissances que possédait son fondateur, que dans son discernement : sa pédagogie, sa capacité à expliquer, rassurer, proposer un outil clés en main… qui permette au plus grand nombre de saisir cette nouvelle opportunité ouverte par la digitalisation du petit commerce. Aujourd’hui, on appelle une telle vision l’empowerment. L’outil quant à lui s’appelle « marketplace »…

UNE PLATEFORME, C’EST CE QU’ON EN FAIT

Beaucoup pensent que les marketplaces sont des géantes qui « tuent » le petit commerce, exactement comme les grandes surfaces ont « tué » les centres-villes. Fortes de leur position (digitale) stratégique, détentrices d’outils et de compétences qu’un marchand de quartier dont ce n’est pas le métier ne disposera jamais, elles sont perçues comme un rouleau compresseur.

Et, contexte sanitaire oblige, voilà que ces plateformes qui connaissent un succès insolent, se retrouvent dans une position de monopole que les commerçants de proximité jugent insupportable.

Pourtant, la vocation, le rôle d’une marketplace n’est pas de rentrer en concurrence. L’essence même de ce modèle est d’agir en partenaire des acteurs du commerce traditionnel. D’ailleurs, la totalité́ des ressources de Rakuten (humaines, technologiques, marketing) leur sont dédiées.

Quand Hiroshi Mikitani a créé Rakuten, il imaginait sa plateforme comme une vitrine mutualisée, un centre commercial virtuel, au service des commerçants. Son projet était de tirer parti d’Internet pour dynamiser une activité parfois en berne localement, augmenter les ventes de petits commerces en élargissant leur zone de chalandise… mais sans pour autant dispenser ces derniers de tenir boutique. Ce n’est pas parce que la vitrine est digitale que le client n’a plus rien à faire en magasin. Au contraire !
Il y a deux, ans, nous avons été les premiers à proposer l’option de click & collect. Une étude menée avec Harris Interactive souligne que 72% des acheteurs en click & collect effectuent un achat additionnel au passage. Il s’agit donc bien d’un levier réel de croissance… 83% des Français estiment que le retrait en magasin représente un axe prioritaire pour accompagner les commerces de proximité́ dans leur développement, notamment grâce à la notion d’audience complémentaire.

L’e-commerce peut être équitable, et avoir un impact positif… localement !
Rakuten n’a eu de cesse de porter cette aspiration d’une marketplace responsable, au service d’une économie collaborative et durable.

RAKUTEN AUX COTES DES COMMERCES FRANÇAIS DEPUIS 10 ANS… ET PENDANT LA CRISE

Il y a 10 ans, nous avons uni notre savoir-faire à celui de PriceMinister. Nous mettons depuis toute notre énergie, notre expérience et notre capacité d’innovation au service des commerçants français pour contribuer à l’économie du pays :

  • 8 000 boutiques inscrites sur notre plateforme
  • 3 000 TPE/PME digitalisées en 2020
  • 450 employés en France
  • 17 millions de visiteurs par mois*
  • Pour chaque emploi direct de Rakuten, 2,4 emplois supplémentaires sont soutenus, soit 20 % de plus que la moyenne du secteur.
  • 500 millions d’euros investis en France depuis 10 ans.

Notre modèle démontre particulièrement son intérêt dans des périodes comme celle que nous traversons.

Pour soutenir les commerçants, nous avons lancé l’opération E-commerce pour tous un programme d’accompagnement, de formations & d’abonnement gratuit pour les TPE/PME afin de les aider à se digitaliser et donc maintenir leur activité pendant le confinement. À ce jour, 1 800 entreprises supplémentaires ont pu s’initier à la vente en ligne, 1 500 ont activé l’option click & collect et ont pu maintenir leur activité… Ce dont nous nous réjouissons, tout comme de voir que le chiffre d’affaires des commerçants présents sur notre « Shopping Mall » progresse de 20% en moyenne.

Ce n’est que le début. Depuis quelques années, le besoin de consommer mieux et plus responsable s’impose. C’est encore plus vrai depuis la crise, pendant laquelle les Français ont montré leur volonté de soutenir leurs restaurateurs et commerces de proximité : l’acte d’achat fait de nouveau sens.
Les petits commerçants, si durement éprouvés, ont une carte à jouer et une formidable revanche à prendre. Et nous sommes là pour les y aider.

*Source : AT Internet