La startup WeeM va installer plus de 1000 cabines acoustiques aux quatre coins de la France. Pour déployer son réseau, elle recense les lieux les plus sollicités par les travailleurs nomades.

Le microworking une tendance qui va durer.

Terme jusqu’à présent inconnu, le microworking va flirter durablement avec le coworking, flex-office et autre télétravail. Ce mode de travail consiste à effectuer une tâche précise dans des conditions de concentration optimales. Exit les open space bruyants et le partage de connexion incertain. L’objectif est de réaliser son travail le plus efficacement possible en évitant toutes les distractions et déconcentrations. Quand on sait que le temps moyen d’un cadre passé devant sa messagerie est de plus de cinq heures par jour, il est urgent de renouer avec une organisation efficace que ce soit au travail, en déplacement dans une gare, un aéroport ou même un hôtel.

La cabine, synonyme de productivité.

Il ne suffit pas d’avoir l’équipement de base du travailleur nomade (un ordinateur portable et un accès à ses fichiers et ses logiciels) pour effectuer une session de microworking efficace. C’est un poste de travail mobile qu’il faut avoir à sa disposition. C’est exactement ce que propose WeeM en réunissant confort, acoustique, énergie, wifi et discrétion dans leurs cabines. De quoi rendre anachronique le business man contorsionné sur sa valise, ordinateur sur les genoux pour passer un mail urgent.

Equiper le territoire pour libérer les nomades.


Pour se déconnecter du travail, il faut pouvoir atteindre la sérénité professionnelle et cela passe par une boite mail traitée, des prises de note des dernières réunions à jour ou un échange téléphonique urgent effectué. Autant d’action rendu possible sur des temps morts grâce à la cabine WeeM. L’attente en gare, aéroport, hôtel ou encore centre commercial est souvent perdue car les conditions ne permettent ni de se détendre ni de pratiquer un autre loisir. Si vous souhaitez voir vos lieux favoris s’équiper de cabines acoustiques, vous pouvez les ajouter sur une carte créée pour l’occasion par la startup rouennaise.

Alors prêt.e à microworker ?