Il y a autant de relations différentes au travail qu’il y a de travailleurs. Cette grande diversité va de l’entrepreneur qui consacre la majorité de sa vie à son activité jusqu’à celui ou celle qui relègue le travail à un besoin alimentaire. Malgré ce panorama immense, il y a un point où se retrouve la totalité de ces personnes : vouloir se sentir bien au travail.

Ces dernières années de fantastiques progrès ont été faits sur le plan physique (confort, ergonomie), social (des open spaces), technologique (tout le monde possède un smartphone) ou encore psychique (développement personnel, méditation). Cette concentration sur la vie au bureau est nécessaire mais elle a créé un angle mort : celui de la mobilité.

Il n’a jamais été aussi simple de travailler en dehors des bureaux : en déplacement, en télétravail, en coworking… Le nomadisme se développe et un nouvel usage apparaît : le microworking. Travailler pendant une courte durée dans des endroits non prévus à cet effet (gare, aéroport, hôtel …).
Comme toute nouvelle pratique, il faut d’abord reconnaître son existence avant d’agir pour une meilleure intégration. C’est dans ce cadre que WeeM agit pour que les microworkers disposent de meilleures conditions. Une bonne connexion internet, du silence, de la discrétion ou encore un accès à l’électricité sont les fondamentaux pour les nomades. En les aidant à réaliser leurs tâches au sein de ses cabines, WeeM souhaite libérer leur esprit et les laisser se concentrer sur le moment présent.

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