Recruteur actif, le groupe a lancé au mois de mai une vaste campagne pour trouver ses nouveaux talents avec comme signature : vous êtres l’énergie dont le monde a besoin. Au-delà de la campagne, ENGIE recherche surtout le collaborateur idéal, en observant les compétences, et surtout les soft skills.

Les soft skills, ou compétences comportementales sont des éléments qui intéressent de plus en plus les employeurs, peu importe la taille de l’entreprise. Loin du management, ou de la gestion de projet, ces compétences sont plutôt basées sur un savoir-être profond. On retrouve par exemple la confiance, l’empathie, l’audace, l’esprit d’entreprendre, le sens du collectif, ou encore la curiosité.

À travers sa campagne publicitaire, “ENGIE souhaite s’accompagner de gens investis de cette mission” et rompre avec leur ancienne image. Car “au-delà des diplômes, nous voulions toucher des gens avec une vraie personnalité, qui soient prêts à se lancer dans de nouveaux défis,” peut-on apprendre sur l’ADN.

La réussite de cette campagne a conforté ENGIE de sa position de recruteur innovant. Alors que des nombreuses entreprises recherchent chez les jeunes diplômés des compétences techniques, parfois encore très scolaires, le fournisseur souhaite trouver ce qu’il appelle le “5ème élément”. Un profil idéal, qui convient parfaitement au poste proposé. C’est aussi un clin d’oeil aux matières que maîtrise ENGIE au quotidien avec l’eau, le soleil, la terre, et le vent. C’est donc au coeur de tout cela que seront intégrés les nouveaux collaborateurs, un élément tout aussi important que les énergies utilisées.

Rejoindre ENGIE, c’est rejoindre une entreprises avec le label diversité offrant des opportunités dans 70 pays à plus de 150 000 salariés. Les possibilités d’évolution sont tentaculaires avec plus de 300 métiers vers lesquels s’orienter, sans oublier l’entreprenariat avec l’incubateur interne de l’entreprise. De cette manière, il est possible de lancer sa startup tout en étant soutenu par son employeur. Si vous avez des idées, ENGIE sera là pour leur donner de la suite.

Il y a énormément d’envie. Nous en avons lancé vingt-cinq. Un quart a disparu ou n’a pas trouvé de filiale qui veuille vendre le produit. Un tiers est encore en incubateur, et le reste est sur le marché,” a précisé Stéphane Quéré, directeur innovation d’ENGIE.

Avec le développement d’une marque employeur puissante, on pourrait presque s’attendre à ce que ENGIE trouve un terme pour qualifier ses collaborateurs, à l’image des Googler, IMBer… Quoi qu’il en soit, si vous vous sentez audacieux, devenez leur 5ème élément.