Les fondateurs du groupe WeWork ont décidé d’ouvrir une école élémentaire. Les cours proposés sont axés sur la bienveillance et l’entrepreneuriat.

WeWork est en pleine expansion. Après avoir reçu un investissement de 4,4 milliards de dollars, ils ouvrent aujourd’hui une école. L’idée est venue de Rebekah Neumann, CBO (Chief Brand Officer) de WeWork. Avec son marie, ils cherchaient un établissement scolaire pour inscrire leur fille ainée. Aucune des écoles qu’ils ont vue ne leur convenait. Ils ont alors décidé d’ouvrir leur propre école élémentaire en accord avec leur façon de penser. Un esprit basé sur le travail collaboratif, l’ouverture d’esprit, la bienveillance et la nature.

« Au cours des sept dernières années, nous avons vu WeWork et nos enfants grandir. Il est devenu clair que la passion, le dynamisme, la créativité, l’altruisme et l’émerveillement que nous recherchons tous les jours sont des traits que nos enfants possèdent naturellement, » nous précise Rebekah sur son blog.

La première classe de test est déjà en place dans une petite école au centre de New-York. De plus en plus de personnes ne souhaitent pas inscrire leurs enfants dans une école classique. On a pu constater une augmentation du nombre de ces solutions alternatives faisant leur apparition ces dernières années.

WeWork va jouer un rôle important dans le programme éducatif de WeGrow. Les élèves acceptés auront accès au réseau collaboratif de WeWork. Actuellement, un enfant de 8 ans travaille en collaboration avec l’équipe de communication de WeWork pour concevoir des vêtements et accessoires destinés à l’atelier « Découverte de la ferme ». Chacune des deux entités profite donc de cette collaboration.

L’école sera installée dans les mêmes bâtiments que ceux des espaces partagés WeWork. Une initiative qui a pour but de permettre aux enfants de passer du temps avec leurs parents pendant la pause déjeuné. La première école devrait faire son apparition l’année prochaine à Manhattan. Il faudra attendre encore un peu pour voir ce type d’écoles alternatives devenir populaires en France.

Sources.