C’est l’expérience qu’a tenté le directeur de l’innovation d’une agence de communication, Brandwith, dernièrement. Mais si celle-ci n’a rien de scientifique, aucune université et chercheurs n’ont secondé le projet, cependant l’expérience a le mérite d’exister. Derrière ces 48h dans la réalité virtuelle, l’objectif était tout de même, de voir les limites du temps d’utilisation des casques VR

On parle bien de mérite, car contrairement à ce que l’on pourrait penser, le projet de passer 48h dans la réalité virtuelle n’a rien à voir avec une quelconque action RP pour un modèle de casque VR. Ça aurait été l’occasion en or pour la visibilité de la marque participante. Malgré l’appel de Dean Johnson, le porteur du projet, aucune marque n’a accepté la proposition…

Nous voulions que ce soit aussi physique que possible. – Dean Johnson, porteur du projet.

La raison principale de ces refus est que l’expérience ne consistait pas seulement à porter un casque de réalité virtuelle et de rester enfermé dans une pièce et laisser couler les deux jours. L’expérience a voulu être le plus physique possible. Au programme : promenade en ville, repas, session de tatouage, conduite de kart indoor, voler sur les ailes d’un avion… Le but étant de voir l’influence de la réalité virtuelle sur les actions physique réelle. Le test de la douleur avec la session de tatouage a montré que la réalité virtuelle réduisait la sensation de douleur en comparant les deux. La fréquence cardiaque passant de 73 par minutes avec au lieu des 103 sans.

Conclusion de l’expérience : les 48h passées dans la réalité virtuelle n’a pas eu d’incidence physique ou psychologique. La technologie utilisée par les constructeurs n’étant pas encore totalement immersive pour laisser le cerveau se tromper. Il serait intéressant que l’expérience soit menée à nouveau par des scientifiques avec une batterie de tests plus complète.

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